« Anonyme », les lecteurs en parlent…
« Attention pépite !!! Captivant, glaçant, une porte grinçant entre chaque ligne « Anonyme » est à l’instar de son incipit « L’homme était là, les mains au fond des poches de son survêtement. » le lecteur, transi, le dos collé contre les murs sombres de ce huis-clos magnétique, assiste aux affres d’une satire psychologique. Menée d’une main de maître, digne d’un génie évident, l’histoire angoissante, prenante, douée, emmène le lecteur dans un « Anonyme » de haute voltige. »
« Étrange, c’est le mot. Ou aurais-je pu écrire : déconcertant, inattendu, insolite, abracadabrantesque, étonnant, saugrenu, extravagant, inhabituel, curieux. Sans doute, j’aurais pu ajouter : ubuesque, surréaliste. Parti d’une situation certes pas courante mais assez simple, le romancier construit un roman très original dans lequel la tension monte, le lecteur se demandant bien comment cet homme s’en sortira -ou pas. »
« Conte philosophique ou fable social, une chose est certaine : quand Luc Fivet sème la graine de l’absurde dans un polar, cela donne un roman édifiant qui va vous faire littéralement grincer des dents. »
« Son écriture s’enracine chez Kafka et Beckett dans la tradition du roman noir qui, je dois le reconnaître, commence drôlement et s’assombrit au fil des pages, allant jusqu’à me flanquer concrètement la trouille. »
« Luc Fivet n’a pas idée du défi qu’il m’a lancé en écrivant un tel roman. D’abord parce qu’il aurait fallu un excellent acteur pour faire résonner le grinçant de son texte : un maître de l’humour noir et de l’absurde type Raymond Devos aurait été idéal ! Mais aussi parce que ce « thriller » à part, qui raconte l’histoire d’un type ordinaire se retrouvant, du jour au lendemain, affublé d’un clochard qui le suit partout, est proprement impossible à couper. Les pages de ce roman kafkaïen, qui se lit d’une seule traite, se tiennent, de la première à la dernière, sans aucun répit possible. » Lauren Malka
Les blogs littéraires encensent La Manufacture des histoires !
Le Carnet et les Instants : À lire la biographie de Luc Fivet, on en viendrait à imaginer qu’il s’est confronté au parcours chaotique de Marc Solis. Il semble en plein boom à présent. Deux romans sortis en 2018 et… quatorze (cinq en version papier, les autres en version numérique) en une douzaine d’années. Serait-il passé par une Manufacture des histoires ? Aurait-il choisi le monde du Dedans ? À moins qu’il n’y grimpe les échelons pour un jour tout exploser ? Booknode : L’écriture est fluide, aspirante, inspirante à l’image d’un conte où le grave côtoie l’insolite, le facétieux. On éprouve à le lire au premier degré, pour qu’ensuite il se distille et se décante en pure réflexion. C’est un récit intelligent, pertinent métaphorique d’une société qui veut nous aliéner de notre pensée, de notre liberté. Il veut nous mettre en garde contre les mirages, pour que chacun puisse continuer de croire et d’écrire sa propre vie. Books, Tea time and Sweet apple pie : Conte mystérieux et thriller politique, odyssée polarisante et satire littéraire, La manufacture des histoires est tout cela à la fois. Ce roman, véritable miroir de notre société, aborde avec imagination, ironie, et lyrisme le mesmérisme de masse d’un monde en trompe-l’œil, le tout porté par un style inimitable. Il y a, sans doute aucun, du George Orwell chez Luc Fivet… Livresque 78 : J’adore les livres qui parlent de livres, et ici Luc Fivet nous enchante avec 320 pages qui tournent autour du livre, des succès littéraires, des mots et de l’art de les manipuler. Centré sur un personnage passionnant par son sens de la dérision, qu’est Marc, un auteur qui se voit refuser la publication de ses livres par toutes les maisons d’éditions, et qui va faire une rencontre étrange, déroutante, enrichissante, qui en amènera d’autres. Sophie Songe : Ce récit nous entraîne dans les arcanes de la littérature pour nous emporter de l’inspiration vers l’édition dans une satire mi-sérieuse, toujours appointée et jamais ennuyeuse. Pour les amoureux des livres, on s’y sent invité et comme un poisson dans l’eau. S’il y a un réel fantasme autour de l’écrivain, il est en quelque sorte ici dépoussiéré, démystifié. On y dévoile ici les coulisses de l’édition non sans humour et toujours de front. On y rencontre des personnages aux reliefs atypiques, caractéristiques, marquées qui jouent leur rôle de divertissement. SmallThings : Riche en suspens et en rebondissements sur le mode d’un thriller, son roman mixe les genres et multiplie les références, en une belle déclaration d’amour au livre en tant que vecteur de réflexion, d’imagination, de pensée. Accoucheur d’histoire, passeur de livres et manipulateurs de mots se croisent dans ce récit tantôt poétique, tantôt drôle, tantôt haletant. Marc Solis devenu Marco Solo saura-t-il de sortir des engrenages de la Manufacture des histoires ? Ou sera-t-il broyé ? Cédera-t-il à la tentation de rester dans le Monde (confortable) du Dedans ? Ou serait-ce l’aube d’une révolution ? Qui tire vraiment les ficelles ? Et où sont les taupes ? Infrarouge : Avec une ironie mordante et un regard acéré sur les « apôtres » de la société consuméro-libérale, Luc Fivet nous livre un roman décapant, inventif, burlesque et riche en personnages fantasques. Une jolie surprise ! Une interview sur Radio libertaire (à écouter à partir de la 5ème minute) :